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#VivaSNCF – Le futur du travail (Future of work)

Les 24, 25 et 26 mai prochains, SNCF accueillera et présentera ses innovations et partenariats sur le Salon Viva Technology, au cours duquel diverses thématiques du monde digital seront abordées. Parmi elles, le « futur du travail » (Futur Of Work). Ou est-ce plutôt le travail du futur ?

Publié le

Par La Redaction

« Rien n’est permanent sauf le changement », disait Héraclite. Tout système humain est mouvant. C’est encore plus vrai pour les organisations. Depuis l’aube de la technologie, elles aussi doivent se ré-imaginer afin de croître et se développer.

Internet des objets, drones, big data, digitalisation des outils pour collaborateurs, modes de travail collaboratifs et directs, usine du futur ou sujets RH, SNCF étudie l’avenir de son fonctionnement au sein de son groupe. En interrogeant les interactions entre l’organisation, les technologies et les ressources humaines, SNCF design son « futur du travail » et ce, en collaboration avec les entités du groupe et les écosystèmes de startups.

Entre intelligence artificielle et technologies empruntées à l’aérospatiale, la Direction de l’Innovation et de la Recherche de SNCF présentera ses réflexions autour du train du futur, conduit à distance et/ou autonome, mais aussi sur la place de l’IA dans la circulation des trains d’aujourd’hui.

Une affaire de famille

Sur le Salon VivaTech, des entités emblématiques de SNCF seront présentes, à commencer bien sûr par Digital SNCF, qui accompagne le groupe ferroviaire dans sa transformation numérique. Il est maintenant question d’industrialiser ces nouvelles façons de travailler, de les déplacer concrètement vers les rails, les wagons et les voitures, mais aussi vers les ressources humaines, pour faire des collaborateurs de véritables « Digital Makers ». Ces derniers contribuent ainsi au développement de la « Data Company » que SNCF tend à devenir.

Pour sa part, SNCF Réseau exposera ses idées sur les nouvelles manières de travailler. Au programme, entre son « Digital Open Lab » et ses objets connectés, le gestionnaire d’infrastructure et du réseau ferré français s’interroge sur la manière de transformer les partenariats avec les startups en relations pleinement industrielles, sur fond de gestion de données ou de plateformes collaboratives. Parmi les buts affichés : une meilleure utilisation de plus de 30 000 km de voies ferrées, comme avec Ermeo, plateforme de digitalisation de la documentation technique des opérations sur le terrain.

Enfin, Gares & Connexions détaillera l’un de ses objectifs d’évolution majeure : comment digitaliser plus de 3 000 gares dans le pays, à l’instar de la solution de Stereograph par exemple. Cette startup arrive à combiner la modélisation 3D d’un bâtiment avec n’importe quelle donnée statistique ou dynamique, solution appelée « smart building », qui est une représentation de bâtiment dite intelligente. Le but : concevoir un dispositif d’aide à la maintenance en gare avec des équipements connectés.

Parmi les autres startups représentées : Artips, pour mettre un peu d’art dans sa vie de voyageur ou de collaborateur, Ergosanté, l’ergonomie au service des conditions de travail, Expedicar, pour transporter son auto ou sa moto, Famoco, qui sécurise les transactions sur mobile, Forepaas, instrument de mesure du taux d’engagement d’une communauté sur les réseaux sociaux, Intercloud, qui permet de gérer plusieurs clouds en même temps, Mitch, alias le « sauveteur du recrutement », ou encore Prevision.io, une plateforme de Machine Learning automatisée.

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